Il est regrettable que soit proposé à nouveau l’automatisation des éclairages au bâtiment B pour convenance personnelle, alors qu’elle a été rejetée l’an passé, sous ces deux formules, c’est-à-dire avec des blocs indépendants, ou celle plus acceptable techniquement et économiquement, avec un détecteur central.
L’audit de l’installation du bâtiment A démontre qu’il a été mis en œuvre le contraire de ce qui avait été convenu lors d’une réunion du CS au Clos traitant de ce sujet.
Sommairement, le bâtiment A s’est créé un centre de coût, en remplaçant un éclairage à minuterie sans frais d’entretien, par un système non vertueux sur tous les plans, écologiques et financiers :
- Pas d’ampoule à vis mais une dalle lumineuse non remplaçable qui oblige le remplacement complet du hublot en cas de panne ou en fin de vie
- Plus de remplacement de l’ampoule par la loge mais intervention obligatoire d’un électricien avec facture comprenant le déplacement, la main d’œuvre et le matériel
- 35 cartes électroniques dans le bâtiment consommant 24h/24
- 35 sources de rayonnement micro-onde à 5.8 GHz pénétrant les appartements
- Dépenses récurrentes avec le remplacement des hublots dont la durée de vie donnée par le constructeur serait de 40 000h soit 4,5 ans (info d'un électricien venu sur site: durée donnée pour 4 ou 5 allumages par jour)
L’étude détaillée est consultable dans l’article « Audit éclairage automatique SARLAM » .
Ce projet ayant été refusé l’an passé, un autre aurait dû prendre le relais, celui de remplacer les globes lumineux d’origine par le modèle SARLAM en dôme déjà présent dans nos couloirs, modèle qui offre une meilleure luminosité tout en conservant les ampoules LED standards en place.
Cette opération peu onéreuse devrait pouvoir être mise en œuvre sans devoir attendre la prochaine AG.